Couper court au battage médiatique sur les drogues
L’image « positive » de la drogue provient en grande partie de la publicité que lui a faite le monde du cinéma et de la musique.
Quand une nouvelle substance apparaît sur le marché, elle n’est souvent considérée comme dangereuse que bien plus tard, lorsque le mal est fait. Dans ce cas, l’idée fausse que la drogue est « inoffensive » a déjà largement fait son chemin. L’ecstasy a fait l’objet d’une propagande de ce genre.
Comme l’a fait remarquer un observateur de la presse : « C’est presque comme si un génie du marketing lui avait préparé une campagne publicitaire sur mesure. »
L’ecstasy me rendait folle. Un jour j’ai mordu dans un verre comme si je mordais dans une pomme. Il a fallu que j’aie la bouche en sang et pleine de morceaux de verre pour me rendre compte de ce qui m’arrivait. Une autre fois, j’ai déchiré des chiffons avec mes dents pendant une heure.
Ann